Merci aux Bruxellois en difficulté

Très curieux papier que celui publié ce vendredi 18 avril en première page du journal « L’Echo » sous le titre « La jolie leçon budgétaire de la Région bruxelloise ». Partageant la bonne nouvelle que constitue le fait que la Belgique a terminé l’exercice 2013 avec un déficit conforme à ses obligations de 9,9 milliards d’€, soit 2,4% du PIB, Christophe De Caevel souligne à juste titre que ce bon résultat ne se traduit pas au niveau individuel de chacune des composantes de l’Etat. Si, avec un déficit de 2,4%, le Fédéral reste bien dans le cadre du programme de stabilité, les quatre autres grandes entités concernées par l’épure européenne ont connu des résultats bien différents. Nous trouvons d’un côté, celui des résultats en boni : la Flandre (boni de 234 millions) et la Région de Bruxelles-Capitale qui fait son entrée dans le club (138 millions, soit 269 millions de différence par rapport au déficit autorisé). De l’autre, celui des résultats en négatif : la Wallonie et la Communauté française (-421 millions d’€, soit 83 millions en-dessous de la prévision budgétaire). Ces résultats appellent 2 commentaires Ces chiffres montrent de manière éclatante que c’est, proportionnellement à son petit volume budgétaire,  la Région de Bruxelles-Capitale qui joue aujourd’hui le rôle de bouclier et de cache-déficit de la Région wallonne et de la Communauté, La différence relevée dans le compte de la Région de Bruxelles-Capitale entre le résultat final et le déficit autorisé par le programme de stabilité européen représente un « effort » de 269 millions (ou 8,4%) ! Elle est à ce point énorme qu’elle aurait mérité pour le moins une « dose d’étonnement » de la part d’un journaliste...

Duurzaamheid moet eerst Sociaal zijn

In 2009 beloofde energieminister Huytebroeck (Ecolo) de invoering van een progressief energietarief. Hierdoor zou de energieprijs socialer en duurzamer worden. Wie meer verbruikt, betaalt een hogere eenheidsprijs. Wie minder verbruikt, wordt beloond. Vandaag werd duidelijk dat het progressieve tarief er deze legislatuur niet komt. Sophie Brouhon: “Een schandaal als je weet dat 30% van de Brusselse gezinnen in armoede leeft, vaak een laag verbruik hebben, maar te veel betalen voor hun energie.” Ik heb in het parlement op elke begroting en op ordonnanties in 2011 en 2012 amendementen ingediend om nu al snel werk te maken van een duurzaam en sociaal tarief. “Een progressief tarief kan vandaag alleen door een eerste schijf gratis basisenergie te voorzien. Elk gezin krijgt 100kWh elektriciteit gratis, plus 100kWh per gezinslid. Voor een gezin van 4 komt dat neer op het jaarverbruik van een koelkast. Zuinige verbruikers betalen zo netto minder, grote verbruikers betalen meer. Dat is duurzaam én sociaal.” Na 4 jaar wachten wordt in het Brussels parlement vandaag eindelijk een ordonnantie besproken die een progressief tarief wil invoeren vanaf 2018. Er worden wel uitzonderingen voorzien, maar het blijft bij de bestrijding van symptomen : “Pak het probleem aan bij de bron.” De Brusselse regering heeft namelijk geen oor naar gratis energie en wilde het debat niet voeren. Nochtans bestaat het al voor de waterfactuur. Nochtans bestaat het al sinds 2004 in Vlaanderen. Nochtans is ook onze fiscaliteit progressief door een eerste vrijgestelde schijf. “De regering weigert gratis energie in te voeren. Ze denkt in dogma’s waardoor er geen oplossing komt op korte...

Sp.a wil Gratis Basisenergie

Vanaf vandaag betaalt de Brusselaar, net als de Vlaamse en de Waalse gezinnen, 6% in plaats van 21% BTW op de elektriciteitsfactuur. Hiervoor zorgde vice-premier Johan Vande Lanotte (sp.a). Energie is een basisbehoefte en geen luxeproduct. Het is ook een fabel dat een hogere BTW tot een lager verbruik zou leiden. “Middenklassegezinnen kunnen verbruik aanpassen via investeringen in isolatie. Huurders en de 30% Brusselse gezinnen in armoede kunnen dat nog...

Notre Région hors zone TTIP

En venant en Belgique, Barack Obama n’avait pas pour seuls buts de venir fleurir à Waregem le monument des soldats américains morts dans notre pays pendant la deuxième guerre mondiale ou d’exhorter la jeunesse européenne à se montrer ingénieuse et ambitieuse. Vous aurez certainement remarqué qu’il y a eu à Bruxelles de solides poignées de mains entre le Président américain, assurément en très belle forme lors de son passage en Europe, et deux des principaux représentants des institutions européennes, Herman Van Rompuy et José Manuel Barroso. “Le monde est plus sûr quand l’Europe et les Etats-Unis sont solidaires” a affirmé avec force le Président des Etats-Unis. Le propos était habile dans la mesure où il recouvrait de fait plusieurs terrains de chasse dont le moindre n’est certainement pas celui de la mise en place d’un Traité transatlantique dit de libre échange entre les Etats-Unis et l’Union européenne. De fait, pareil traité représente une très grande menace pour toutes celles et tous ceux qui ont bataillé et bataillent pour donner corps et ampleur à toute une série de normes sociales et environnementales Nombreux sont ceux qui ne voient dans ce projet ardemment soutenu par les multinationales et les tenants du libéralisme qu’une grave menace à l’encontre de notre système de droit et de toutes les mesures prises à tout niveau, européen, national, régional ou local, pour assurer la protection du citoyen européen. Le traité transatlantique est un véritable typhon qui aurait pour effet de contraindre les pays européens d’assurer la « mise en conformité de leurs lois, de leurs règlements et de leurs procédures » avec les dispositions du traité. Des pays...

Sneler en strenger maatreglen tegen fijnstof

Op woensdag 19 maart werd bekendgemaakt dat de voorspelling van de pollutiepiek op 13 en 14 maart foutief was. Op twee meetplaatsen is twee dagen op rij een concentratie fijn stof  van meer dan 100 microgram fijn stof per kubieke meter gemeten. En dus had fase twee van het smogalarm in werking moeten treden. Maar door een foute voorspelling is dat dus niet gebeurd. Lees het aantwoord van de...

Connecting Brussels

“Bruxelles rassemble. Bruxelles rassemble les régions culturelles européennes. Bruxelles rassemble les régions linguistiques. Bruxelles rassemble la Belgique. Bruxelles rassemble l’Europe. Bruxelles rassemble-t-elle également les Bruxellois ?” Tel est le point de départ du livre trilingue Connecting Brussels de Pascal Smet. Selon lui, rassembler les Bruxellois est la clé pour faire bouger Bruxelles. Dans sa vision de l’avenir, une Ville-Région autonome remplace l’écheveau qu’est aujourd’hui Bruxelles et qui empêche le progrès. Pascal Smet opte pour une Bruxelles ouverte, viable et multilingue, avec une grande attention pour des structures fortement simplifiées, la mobilité, l’enseignement et la culture taillés sur mesure pour Bruxelles, les opportunités à offrir et à saisir, la collaboration et la rencontre. Avec Connecting Brussels, Pascal Smet souhaite aller vers une coalition qui va plus loin que les structures actuelles. « Notre Bruxelles a besoin d’un vaste mouvement urbain capable de jeter la base pour devenir un état libre dirigé avec efficacité. Nous souhaitons que ce mouvement soit possible sans les lignes de rupture classiques. Ce mouvement urbain est un peu rouge, un peu bleu, un peu vert, mais surtout 100 % Bruxelles », affirme Pascal Smet. C’est avec Connecting Brussels que Pascal Smet donne le coup d’envoi de sa campagne électorale. « Bruxelles est un enfant de parents divorcés. De parents qui peuvent difficilement se détacher. Bruxelles a besoin d’espace pour se trouver, pour grandir. Notre Bruxelles prend son avenir en main », dit-il. Ce matin, Philippe Van Parijs a non seulement introduit la présentation du livre, mais il a également dialogué avec Pascal Smet. « J’ai retenu du dernier baromètre linguistique que seuls 5 % des Bruxellois...